Je me souviens…

2023
Production

Cette série de portraits dansants est conçue à partir de témoignages de danseur.euses concernant l’héritage de leurs pratiques.

Quels souvenirs nourrissent ta pratique de la danse ? Quel héritage marque particulièrement ton parcours ? Ces portraits dansés partagent les réflexions et expériences de danseur.euses autour des questions de mémoire et de transmission : Que retiens-tu de ta formation ? Quel est ton rapport à la tradition dans ta pratique ? Qu’est-ce qu’il t’importe de transmettre ?

Coréalisés par Katya Montaignac et Philippe Meunier, ces portraits dansants sont issus des archives du spectacle Nous (ne) sommes (pas) tous et toutes des gigueurs et des gigueuses créé par Sophie Corriveau et Katya Montaignac et produit par la Bigico en octobre 2019 au Théâtre Aux Écuries en coprésentation avec Danse-Cité.

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Documents

Entrevue vidéo

Pierre Chartrand, sculpteur de pas

Très belle réflexion incarnée et dansée par Pierre Chartrand sur la tension entre la tradition et la création : comment s’imprégner du passé pour mieux l’oublier et continuer à faire évoluer la danse? Réalisation de l’artiste en danse Katya Montaignac et du danseur, vidéaste et monteur Philippe Meunier,…

Entrevue vidéo

Rachel Carignan, spasmes

Dans cette vidéo, Rachel Carignan se penche sur sa découverte de la gigue toute jeune adolescente, puis de son entrée au Bac en danse alors qu’elle découvre le ballet, ses bras, l’importance du regard, du senti, de l’émotion et de la corporéité. Comment ces nouvelles…

Entrevue vidéo

Antoine Turmine, dialogue

Dans cette vidéo, Antoine Turmine, revient sur sa pratique : qu’existe-t-il à côté du temps et de la pulsation? Comment comprendre et partager sa mémoire? Comment jouer avec la musique? Goûtant le plaisir de l’élasticité du temps en studio, il dit préférer ne pas affronter…

Entrevue vidéo

Normand Legault, porteur de tradition

Dans la première vidéo de la série Je me souviens…, Normand Legault nous relate son parcours. C’est au Saguenay, alors qu’il entre tout juste au Cégep, qu’il découvre la gigue et ressent un grand choc esthétique devant cette pratique qui fait partie du cœur battant…