Depuis 1977, Marie Chouinard a créé plus de cinquante oeuvres chorégraphiques, dont une trentaine de solos qu’elle a elle-même interprétés. Elle fonde la Compagnie Marie Chouinard en 1991.
Au micro de Marie-Gabrielle Ménard, la chorégraphe, autrice, dessinatrice, scénographe, photographe, conceptrice de costumes et d’éclairages raconte la genèse de sa version du Sacre du printemps et parle du danger qui l’a guettée lors de la création de l’Après-midi d’un faune. Ce qui l’intéresse encore et toujours après plus de 45 ans de création : explorer, à travers le corps et la voix, des tracés inconnus. Elle préfère le mot émoi au mot émotion.
CRÉDITS
Idéation, animation, réalisation : Marie-Gabrielle Ménard
Soutien à la réalisation : Julien Sahuquillo
Recherche : Guylaine Bombardier, Doris Grenier
Lettre hommage : Isabelle Poirier
Avec les témoignages de : Andrée Martin, Rober Racine, Carole Prieur, Louis Dufort, José Navas, Théodore Pellerin, Jacques-Lee Pelletier, Pierre Desmarais, David Rancourt
Montage : Marie-Gabrielle Ménard, Louis Dufort, Jean-François Roy
Musique originale : Louis Dufort
Narration : Éric Robidoux, Marie-Michelle Borduas
Son : Tayaout-Nicolas, Xavier Madore
Archives : Société Radio-Canada
Photo : Richard-Max Tremblay
Visuel : Denis Dulude
Vidéo : La conserve média
La série FAIRE CORPS a été rendue possible grâce au précieux soutien du gouvernement du Québec et du Conseil des arts du Canada.
Merci à La Fabrique culturelle de Télé-Québec.
Merci à Espace Perreault Transmissions chorégraphiques et à la Bibliothèque de la danse Vincent-Warren. Marie-Gabrielle remercie Louis Dufort, Denis Dulude, Xavier Madore, Anne-Marie Garand, Tayaout-Nicolas et Jean-François Roy (les magiciens), Julien Sahuquillo (le mécano), Francis Leduc (le scientifique), Guylaine Bombardier, Stéphanie Gagnon, Enora Rivière, Sandrine Deschênes et Katia-Marie Germain (les fouines), Olivier Desjardins (le stratège), Sophie Pelletier et Sébastien Roldan (les goûteurs), Amélie Bruneau-Longpré, Camille Sabbagh, Justine Latour (les fées), Doris Grenier et Michel Ménard (les sources).