In 2003, the choreographer Danièle Desnoyers was invited to create a work in residence at the Musée d’art contemporain de Montréal. The resulting Duos pour corps et instruments was performed by three of Montreal’s most renowned dancers: Sophie Corriveau, AnneBruce Falconer and Siôned Watkins.
Ten years later, to celebrate 25 years of creation within her company, Le Carré des Lombes, Danièle Desnoyers invited three exceptional performers—Karina Champoux, Clara Furey and Anne Thériault—to work with her on a [re]creation of this work, which had toured on three continents and had earned its creator widespread acclaim.
Duos pour corps et instruments is based on the idea of encounters, notably that of the choreographer with sound designer Nancy Tobin, with whom she explored novel and playful ways of exploring the musicality of the body.
The result is an instinctive, visceral dialogue between movement and sound based on low-tech equipment, speakers that are occasionally carried by the dancers, and interference as an intense, raw and fascinating soundtrack. Duos pour corps et instruments is a beautiful, poetic work in which every part of the body seeks to erase the distance between dancer and spectator, between seeing and experiencing.
Duos pour corps et instruments choreographic toolkit, 2014
Choreography by Danièle Desnoyers, 2003
Toolkit based on the original idea of Ginelle Chagnon
Credits (in French)
Mise en forme initiale, assemblage, coordination, rédaction, schémas et photos (sauf si autrement mentionné) : Ginelle Chagnon
Rédaction de la notation chorégraphique : Sophie Corriveau et Anne Thériault
Contribution à la documentation : Lee Anholt, Guillaume Cavaliere-Beranek, Ginelle Chagnon, Karina Champoux, Claudia Chan Tak, Sophie Corriveau, Ariane Dessaulles, Clara Furey, Denis Lavoie, Marc Parent, Luc Senécal, Anne Thériault, Nancy Tobin et, bien sûr, Danièle Desnoyers
L’assemblage de la boîte chorégraphique ainsi que la rédaction des principaux documents qui la composent ont suivi la recréation de l’œuvre en 2014.
La Boîte chorégraphique Duos pour corps et instruments est une production de la Fondation Jean‑Pierre Perreault ; elle a été réalisée en collaboration avec Le Carré des Lombes.
La Fondation Jean-Pierre Perreault et Le Carré des Lombes sont soutenus par :
le Conseil des arts et des lettres du Québec ;
le Conseil des arts du Canada ;
le Conseil des arts de Montréal.
La numérisation de cette boîte chorégraphique bénéficie du soutien financier du Conseil des arts et des lettres du Québec, dans le cadre de la mesure d’aide à la numérisation de contenus artistiques et littéraires.
Idée originale des boîtes chorégraphiques : Ginelle Chagnon
Révision des documents : Guillaume Cavaliere-Beranek, Sophie Corriveau, Danièle Desnoyers, Lise Gagnon, Denis Lavoie ainsi que Le Carré des Lombes et la Fondation Jean-Pierre Perreault (2013‑2014)
Il faut aussi mentionner que par le biais de Circuit-Est centre chorégraphique le vidéaste Xavier Curnillon a parallèlement documenté en vidéo la transmission de l’œuvre.
Édition, révision et correction : Romy Snauwaert
Conception graphique et mise en page : Anne-Laure Jean
Photo de la couverture et de la page de titre : Luc Senécal, 2014
Avertissement – La chorégraphe ou ses ayants droit sont les titulaires, cessionnaires ou licenciés exclusifs des droits de propriété intellectuelle de Duos pour corps et instruments. La consultation ou l’achat de la boîte chorégraphique ne confère aucun droit d’utiliser ou d’exploiter Duos pour corps et instruments en tout ou en partie sous quelque forme que ce soit. Pour toute utilisation de Duos pour corps et instruments, en tout ou en partie, l’autorisation de la chorégraphe ou de ses ayants droit est requise.
Dépôt légal – Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2016
Dépôt légal – Bibliothèque et Archives Canada, 2016
© Tous droits réservés, 2016. Fondation Jean-Pierre Perreault
ISBN : 978-2-9815499-1-4 (version imprimée)
ISBN : 978-2-9815499-2-1 (PDF)
Tous droits réservés pour tous pays. Toute traduction ou toute reproduction sous quelque forme que ce soit est interdite sans l’autorisation de la Fondation Jean-Pierre Perreault.